Lorsque 5 boussoliens participent aux 4 jours de France de CO, ils se distinguent non par leurs résultats, mais par leur participation à seulement 3 étapes.
Les plus longues, en forêt !
D’ailleurs Aloïs a trouvé ses 39 balises le premier jour.
Jacqueline et Alain avaient fait le choix du camping-car sur le lieu de course. Les mauvaises langues diront que c’était plus facile d’être sur place quand on passe du temps en forêt. Pourtant avant la 2e étape (la 1ère pour nous), Alain était confiant : il avait fait le choix de garder le maillot orange pour le podium. Étonnamment, Il s’est ravisé le lendemain et a fait briller le maillot… dans la forêt.
De notre côté, avec Aloïs et Thierry nous l’avons montré pendant 6 heures à nous 3, le premier jour. Ma trace GPS permet de comprendre pourquoi.
L’entraînement réalisé le lundi précédent, avec Eric, n’avait pas été suffisant et il a fallu que nous nous adaptions à ces superbes terrains jurassiens.
Effectivement, les choses sont allées mieux techniquement les jours suivants. Le dimanche, Aloïs prend une jolie 9e place en Élite. En plus, le circuit était magnifique : http://3drerun.worldofo.com/2d/index.php?idmult[]=-297733&idmult[]=-297779&idmult[]=-297850&idmult[]=-297861&idmult[]=-297898
En H45, le circuit -moins intéressant que les autres jours- a rebuté Thierry, enfin plutôt son mollet. Qu’auriez-vous fait de 2 à 3 et de 5 à 6 ?
Thierry va se refaire une santé en août. Avec Nico, on compte sur eux pour ramener un titre de champion de France des raids lors du Bombis !
Un grand merci aux organisateurs qui ont assuré.
D’ailleurs, Balise 25 a eu la bonne idée de regrouper les objets trouvés http://o.doubs.2015.free.fr/images/objets-trouves.pdf. Il s’en est fallu de peu que l’on ait aussi sur cette liste : un doigt, des chaussures de CO, un bandeau (et des chaussettes OK). Mais la présence d’Anne-Lise a bien recadré Aloïs le dimanche.
Tout comme la présence d’Élisabeth a permis à Thierry de faire un effort vestimentaire dans les bois !
Lors de la mise en ligne du CN, le verdict est tombé : Aloïs reste le moins mauvais coureur du club.
Il n’y avait pas vraiment de suspens. Il était sur ses terrains, de plus Thierry et moi ne pouvions pas nous permettre de froisser la susceptibilité des autochtones, étant donné l’excellent accueil de Muriel -sa maman- à Lamoura pendant ces trois jours.
